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  HISTOIRE DE L’ACADÉMIE 

DE MONTAUBAN

 

 

 

L'Académie des Belles Lettres de Montauban est née le 14 août 1744 comme en témoignent les "Lettres Patentes" signées du roi Louis XV (enregistrées le 21 août au parlement de Toulouse) qui consacraient officiellement la jeune société littéraire créée en 1730, elle-même héritière des salons littéraires en vogue depuis le siècle précédent.
Le sceau de l'Académie rappelle les armes de la ville de Montauban avec notamment le saule qui 'admire ses nouvelles frondaisons ", citation tirée d'un vers des Géorgiques de Virgile :"miraturque novas frondes".
La détermination des figures marquantes de la ville citées ci-dessous joua un rôle majeur dans cette création.
 
 
 
                    Henry_Le_Bret.jpg 
 Henry Lebret (1618-1710)

 

 Les Promenades de Tempé

La tenue d’assemblées littéraires, dès le XVIIe siècle, animées principalement par des religieux, forment un terreau favorable. Henry Le Bret en est l’un des principaux initiateurs.

Né à Paris en 1618, ami de Cyrano de Bergerac et comme lui, mousquetaire du roi, son activité libertine se termine en 1641. Il embrasse alors la carrière juridique, et occupe la fonction d’avocat au Conseil du roi, jusqu’en 1656, date de la mort de son compagnon. Il entreprend une carrière ecclésiastique : soutenu par Mgr de Bertier, il est nommé au secrétariat de l’évêché de Montauban. Devenu chanoine, puis grand prévôt, il lutte contre le calvinisme. Il publie son Histoire de la ville de Montauban  (1668) et crée un corps littéraire qui se réunit dans la demeure du magistrat montalbanais, M. Darassus, dans la vallée du Tescou, à Tempé. Sous le nom de Promenades de Tempé, Le Bret indique le contenu philosophique et littéraire de ces assemblées.

 


 

                    

Jean-Jacques Lefranc de Pompignan (1709-1784)

 

La Société littéraire  de Montauban

(1730 - 1744)

L’initiative de la création de l’Académie de Montauban revient à un jeune magistrat de la Cour des aides, Jean-Jacques Le Franc de Pompignan qui, avec quelques amis crée en 1730 la  Société littéraire  de Montauban.

Natif de Montauban, il y est nommé avocat général à la Cour des aides en 1730. Brillant orateur, il fonde cette Société littéraire, poétique avant tout, qui suscite quelques jalousies. Les séances s’espacent pour être interrompues, avant de renaître avec éclat en 1740 (entre temps, Le Franc avait quitté Montauban pour Paris et y avait donné sa tragédie de Didon au Théâtre Français en 1734). Dès 1741, il entreprend des démarches auprès du roi qui lui permettent de tenir des assemblées publiques et de célébrer, avec les encouragements de Mgr de Verthamon, la fête de Saint-Louis, choisi comme patron, le 25 août 1742, à l’évêché. Il en résulte un premier recueil imprimé chez Forest, à Toulouse en 1743.

                   

Mgr Michel Verthamon de Chavagnac  (1687-1762)

 

L’Académie des Belles-lettres de Montauban

(1744 - 1793)

Elle est créée par lettres patentes royales signées par Louis XV, le 19 juillet 1744, à Dunkerque. Elle est composée de trente membres titulaires, les vingt-sept membres de la Société littéraire de Montauban préexistante et les trois personnalités les plus éminentes de la ville, l’intendant de la généralité, l’évêque du diocèse et le premier président de la cour des aides (voir la page « les Académiciens depuis les origines). Le premier consul de la ville en était également membre  avec le statut «d’académicien-né».

                     

Lettres patentes de l'Académie des Belles-Lettres de Montauban (1745)

 

Dix membres associés qui ne résidaient pas à Montauban, complétaient l’effectif. Un cérémonial est institué, tout comme un concours littéraire annuel. Le sceau de l’Académie représente le saule des armoiries de la ville, poussant de sa tige une branche de laurier, avec ces mots de Virgile : « Miraturque novas frondes  » (Admire les frondaisons nouvelles).

Dès 1790, l’Académie de Montauban cesse ses travaux. Le 8 août 1793, un décret de la Convention Nationale supprime, purement et simplement, les sociétés littéraires et les académies.

 

  Compte-rendu de l'assemblée publique du 30 Prairial de l'an X

La Société des sciences et des arts du département du Lot séante à Montauban

(1795 - 1809)

 La constitution du 5 fructidor de l’an III (22 août 1795)  crée un institut national qui est chargé des fonctions antérieurement dévolues aux académies de l’Ancien Régime. L’article 300 dispose que les « citoyens ont le droit de former des sociétés libres pour concourir aux progrès des sciences, des lettres et des arts ». C’est dans ce cadre, qu’à l’instigation de l’astronome Duc-Lachapelle, dès 1795, une nouvelle société savante est en gestation à Montauban, sous la dénomination de Société des sciences et des arts du département du Lot séante à Montauban. Son règlement est adopté le 23 brumaire an V. Elle est composée de trente membres répartis en deux classes : sciences (12 membres) et belles-lettres (18 membres).

En 1802 (règlement du 3 floréal an X), est instituée une troisième classe, celle de l’agriculture et du commerce. Entre 1802 et 1804, une douzaine de nouveaux membres est recrutée dans cette classe. La Société se réunit chaque mois et tient à l’hôtel de ville, une séance publique annuelle qui n’est pas convoquée à date fixe mais dont l’organisation varie peu d’une année à l’autre. Les membres les plus importants et les plus actifs de cette société sont : Duc-Lachapelle, Poncet-Delpech père et fils, Bénédict Prévost, Robert-Fonfrède, France-Lagravière et Pierre-Toussaint Aillaud.

A partir de 1803, la Société organise également des concours destinés aux jeunes montalbanais dans les diverses disciplines académiques (mathématiques, lettres, géographie, dessin, etc.). En 1805, il est procédé à la remise des prix aux collégiens à l’issue de la séance publique annuelle. Mais son activité ne se limite pas à l’organisation de concours. En l’an X (1802), elle rend un avis scientifique au préfet sur la manière de combattre une épizootie qui décime le cheptel du département. Elle contribue également à la création de la bibliothèque communale de Montauban et  apporte un appui technique la ville de Montauban pour la définition du trajet du canal latéral à la Garonne.

La création du département du Tarn-et-Garonne, le 21 novembre 1808 a pour conséquence la dissolution de la Société, le 7 mars 1809.

La Société des sciences et des arts du Lot séante à Montauban : cliquer ici pour en savoir plus

  

                     

  

 Jean-Baptiste Poncet-Delpech (1747-1827)

  

La Société des Sciences, Agriculture et Belles-lettres de Tarn-et-Garonne (1809-1867) 

En 1809, la Société retrouve un peu la « sève géorgique » de ses origines, pour prendre le nom de Société des Sciences, Agriculture et Belles-lettres de Tarn-et-Garonne. Elle est créée par arrêté préfectoral du 18 mai 1809. Elle se compose de 28 membres. Ils sont répartis en trois classes : sciences, agriculture et belles-lettres. La moitié de ses membres appartenait  à l’ancienne société du Lot séante à Montauban.

Arrêté préfectoral du 18 mai 1809

Elle décerne des prix dont les sujets sont proposés tour à tour par chacune des trois sections. Ils sont remis à l’occasion de sa séance publique annuelle. En 1810, 1811 et 1812, celle-ci se tient le 15 mai (jour anniversaire de la naissance de l’Empereur). En 1810, elle ne couronne aucun lauréat et remet les mêmes sujets au concours pour 1811. A la séance publique de 1811, la classe de littérature donne un nouveau sujet, une ode sur le passage de Sa Majesté l’Empereur et Roi dans la ville de Montauban, dont le meilleur auteur est couronné en 1812. Jusqu’en 1815, divers prix en littérature et agriculture sont attribués. La fin du 1er Empire semble porter un coup d’arrêt au dynamisme dont faisait preuve la société depuis sa création.

A la Restauration, le directeur de la société est alors le préfet du département, le Vicomte de Villeneuve. Entre la fin de l’Empire et le début des années 1820, disparaissent quelques uns des sociétaires les plus actifs qui ont  beaucoup contribué à la renaissance de la compagnie : Duc-Lachapelle (1814), Poncet-Delpech, père (1817), Bénédict Prévost (1819), Combes-Dounous (1820), Depuntis (1820). Ils ne sont pas remplacés. La Société semble pratiquement en sommeil. L’effectif global est en baisse et le déséquilibre entre les classes s’accentue. En 1818, cela a pour conséquence la fusion de la classe des sciences avec celle de l’agriculture. Sans nouveau recrutement (sauf un en 1818), il faudra attendre les années 1820-1822 pour qu’un tiers des membres soit renouvelé. Malgré cela, la baisse de l’effectif des membres résidants se poursuit durant les deux décennies 1820 et 1830. En 1938, en effet, les membres résidants ne sont plus que vingt (neuf dans la section des sciences et onze dans celle des sciences).

A partir du début des années 1820, la Société est toute entière accaparée par la diffusion des connaissances en agronomie. Elle se voit confier la publication du Recueil agronomique de Tarn-et-Garonne. Elle est aussi étroitement associée à la création des comices qui sont mis en place, à l’instigation des pouvoirs publics à partir de 1836. La gestion des aides à l’innovation en agriculture lui est  aussi confiée.

La société se dote en 1839, d’un nouveau règlement. La division en sections est supprimée. Elle n’est plus dès lors dirigée par des directeurs trimestriels mais par un président. C’est Armand Teulières, un magistrat, qui assure cette nouvelle charge. A partir de 1841, ses activités s’enrichissent : en plus du prix d’agriculture, elle fonde un concours de poésie dont les membres de la Société puis la ville de Montauban financent les prix.  Dès l’année suivante, Le Recueil Agronomique rend compte dans ses pages de la séance publique annuelle de la société durant laquelle les prix sont remis et où quelques sociétaires présentent des communications. Cependant, jusqu’en 1867, l’agriculture reste le principal domaine dans lequel s’investit la Société. Ses initiatives dans ce domaine sont nombreuses. Elle crée en particulier une vigne-école en 1863, qui est dirigée par l’un des membres  de la Société, Jean-Paul Dubreuilh, professeur départemental d’agriculture.

Liste des membres de la Société des Sciences, Agriculture et Belles-lettres de Tarn-etGaronne en 1853

Liste des membres de la Société des Sciences, des Belles-lettres et Arts de Tarn-et-Garonne en 1868

                    

 La Société des Sciences, Belles-lettres et Arts de Tarn-et-Garonne (1867 - 1883)

 

En février 1867, le préfet Etienne Soumain informe le président de la société, Guillaume de Félice de son intention de créer une société chargée spécialement de l’agriculture et de confier à celle-ci la publication du Recueil agronomique. Ce projet suscite du mécontentement parmi les membres mais un nouveau règlement entre en vigueur actant cette modification importante. Voté en assemblée générale le 11 mai 1867, il est approuvé par le préfet le 24/05.

Le 27 juin 1867, en séance publique, le président de Broca retrace l’historique de la Société qui retrouve les Belles-Lettres, pour devenir la Société des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Tarn-et-Garonne et explique les raisons de cette évolution. Outre le changement de dénomination, on enregistre, diverses modifications (notamment un poste de vice-président est créé, les membres résidants sont tenus de payer une cotisation, la Société impose à ses membres une obligation de neutralité politique et religieuse,…).

C’est à partir de cette même année que la Société publie son Recueil. La parution est annuelle ou biannuelle. Elle organise comme par le passé des concours de prose et de poésie dont les œuvres primées sont lues en séance publique, courant mai ou juin.

A partir de 1870, et jusqu’en 1883, la société n’a plus à sa tête un président mais des directeurs trimestriels tirés au sort. En janvier 1877, Emmanuel Soleville, au nom de la société, écrit au préfet pour que celle-ci soit autorisée à reprendre sa dénomination antérieure à 1867. Il obtient  provisoirement gain de cause puisque en 1878 la Société redevient "Société des sciences, agriculture et belles-lettres" mais Gustave Garrisson échoue dans sa tentative de recréer au sein de la société une section ouverte aux non résidants et associés ayant en charge les questions agricoles. Un nouveau règlement, actant le retour  à la dénomination de 1867 est adopté en séance le 8 mai 1880 et approuvé par le préfet le 27 août. Ce changement sera de courte durée puisque en 1883, la Société redevient enfin une Académie.

Liste des membres de la Société des sciences, belles lettres et arts de Tarn-et-Garonne en 1883

L’Académie des Sciences, Belles-lettres et Arts de Tarn-et-Garonne (1883-1920)

À la fin de 1882, une modification se produisit. A plusieurs reprises déjà, le projet avait été formé de redonner à la Société des Sciences, Belles-Lettres et Arts, le titre d' « Académie ». L'autorisation gouvernementale, demandée à cet effet, avait toujours été refusée. Mais à ce moment les objections faites par l'autorité à la reprise de ce titre ancien devinrent moins catégoriques. Enfin, l'autorisation du pouvoir fut accordée.

Les 3, 13, et 21 février 1883, dans une série de réunions importantes, la Société Littéraire adopta, à nouveau, le titre de :              «Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Tarn-et-Garonne», avec siège à Montauban. Cette décision de l'Académie fut communiquée à la Préfecture de Tarn-et-Garonne, qui l'enregistra le 3 mars 1883, en visant et approuvant le nouveau règlement de l'Académie.

À compter du 20 juillet, la société retrouve officiellement son ancienne dénomination d’Académie. Elle a de nouveau un président, Louis FOISSAC-JULIA et poursuit ses activités traditionnelles dont le Recueil, publié désormais régulièrement, nous conserve le souvenir. Le premier Recueil de la 2e série porte la date des années 1883-1885. Elle marque un intérêt accru pour son histoire et apporte son concours,  en 1888 à  Emerand Forestié, neveu pour la publication  : « La Société littéraire et l’ancienne Académie de Montauban  ». qui est un document de référence sur l’histoire de l’Académie de Montauban sous l’Ancien Régime.

 En 1883, les  statuts de l’Académie renaissante avaient, en plus des trente membres résidants, créé six places d' « Associés résidants » destinés à des membres qui, du fait de leurs occupations professionnelles, n'habitaient que momentanément la ville de Montauban. En 1891, le 6 juin, les six Associés résidants ont été incorporés au nombre des membres titulaires qui furent désormais 36. Puis, par décision de l'Académie du 6 juillet 1895, le nombre des académiciens titulaires fut porté de 36 à 40, et quatre nouveaux membres titulaires furent élus, dont 3 le 27 juillet 1895, et le quatrième le 1er février 1896.

L'Académie de Montauban (Sciences, Belles-lettres, Arts, Encouragement au Bien)

(1920 - 2019) 

Le nom d' « Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Tarn-et-Garonne », adopté en 1883, est transformé par une décision du 20 décembre 1920 de l'Académie en celui de :« Académie de Montauban » (Sciences, Belles-Lettres, Arts, Encouragement au Bien). La déclaration d'existence de l'Académie de Montauban, faite le 10 mars 1924, est publiée au Journal Officiel du 22 mars 1924.

En 1928, le nouveau président, Jean-Dieudonné Donnadieu, met en œuvre la décision de transfert du siège de l’Académie prise en 1927 par son prédécesseur, le Dr Labat. Elle quitte le Cercle de l’Agriculture pour s’installer à la Chambre de Commerce et d’Industrie, Porte du Moustier. Le déménagement et les travaux d’aménagement grèvent lourdement son budget.

Il lance également un programme de réformes pour donner un nouvel essor à l’Académie. Il augmente le nombre de cotisants (de 63 à 200) ce qui, ajouté à une forte augmentation de la subvention du conseil général (de 200 à 800 francs) permet l’accroissement  des recettes de l’Académie qui passent, entre 1927 et 1929, de 2000 à 7000 Francs. Ces nouveaux moyens financiers rendront possible désormais l’attribution régulière de prix littéraires ET de prix de Vertu. Un autre projet du président Dieudonné porte sur la conception et la diffusion du Recueil. Le manque de moyens dans les années précédentes le réduisait à une centaine de pages et empêchait la parution annuelle (un seul numéro pour les années 1926/27/28). Il est décidé qu’à partir de 1929, sa parution sera annuelle et son volume doublé. Il est prévu aussi d’améliorer sa diffusion par voie d’abonnement et de vente en librairie tout en l’ouvrant à la « réclame ». En même temps, le président engage une réforme statutaire afin de regrouper les différentes catégories de non-titulaires (non-résidants, honoraires, correspondants) en un seul groupe, les « associés », d’ouvrir cette nouvelle catégorie aux femmes et d’imposer à ces « associés » le versement d’une cotisation. Le président Dieudonné s’engage également à créer un fichier des membres (pour la postérité) et un règlement intérieur.  Il fait aussi reconstituer et compléter la présentation du vieux sceau de l'Académie réglé en 1744 par les Lettres Patentes.

C'est dans le recueil de 1928, paru au milieu de 1929 que fut, pour la première fois appliquée la décision du 20 décembre 1920 adoptant le titre d' « Académie de Montauban ». Ce projet de modification des statuts aboutit en 1935. L’Académie fait alors en préfecture  une nouvelle déclaration d'existence le 27 décembre 1937, publiée au Journal Officiel du 14 janvier 1938.

L'Académie de Montauban (Sciences, Lettres et Arts) (2019 -        )

           

De nouveaux statuts et un nouveau règlement intérieur ont été adoptés et enregistrés en préfecture en juin 2019. Ils modifient la dénomination de l'Académie, crée un conseil d'administration de 11 membres et portent le mandat des administrateurs de 2 à 3 ans.

Rappel chronologique :

de 1730 au 19 juillet 1744 : Société littéraire de Montauban

du 19 juillet 1744 à 1793 : Académie des Belles-Lettres de Montauban

de l’an VII à 1809 : Société des Sciences et des Arts du département du Lot, séante à Montauban

de 1810 à 1867 : Société des Sciences, Agriculture de Tarn-et-Garonne

de 1867 à 1878 : Société des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Tarn-et-Garonne

de 1878 à 1880 : Société des Sciences, Agriculture et Belles-Lettres de Tarn-et-Garonne

de 1880 à 1882 : Société des Sciences, Belles-Lettres de Tarn-et-Garonne

de 1883 à 1920 : Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Tarn-et-Garonne

de 1920 à 2019 : Académie de Montauban (Sciences, Belles-Lettres, Arts, Encouragement au Bien)

 

A partir du 3 juin 2019 : Académie des Sciences, Lettres et Arts de Montauban

 

Références  

(voir en ligne  en cliquant sur ces liens) :

 

1867 : Tableau de l’histoire de l’Académie depuis les origines, par M. Alexandre de Broca

Tableau de l'histoire de l'Académie depuis les origines

1888 : La Société littéraire et l’ancienne Académie de Montauban, par M. Emerand Forestié neveu 

 La Société littéraire et l'ancienne académie de Montauban

1930 : Les Origines et les débuts de l’Académie de Montauban, par M. Pierre Viguié 

 Les origines et les débuts de l'Académie de Montauban

1956 : L'Académie de Montauban de 1883 à 1956, par M. Armand des Rochettes

L'Académie de Montauban de1883 à 1956, par M. A. des Rochettes 

1963 : 1763 - 1863 - 1963Petits propos sur le Montauban d’autrefois et le Montauban d’aujourd’hui.par Robert Garrisson 

1763-1863-1963, Petits propos sur le Montauban d'autrefois et le Montauban d'aujourd'hui, par Robert Garrisson

1992 : Réponse au discours de réception à l'Académie par M. Janine Garrisson

Réponse au discours de réception par Mme Janine Garrisson

2003 : Histoire de l’Académie de Montauban, par le Dr Philippe Rollin 

Histoire de l'Académie de Montauban par le Dr Rollin (1)

Histoire de l'Académie de Montauban par le Dr Rollin (2)

2005 : L’Académie de Montauban a 260 ans : des époques, des faits, des hommes, par MM. Léo Daudibertières et Norbert Sabatié

L'Académie de Montauban a 260 ans, par MM. Léo Daudibertières et Norbert Sabatié (1)

L'Académie de Montauban a 260 ans, par MM. Léo Daudibertières et Norbert Sabatié (2)

L'Académie de Montauban a 260 ans, par MM. Léo Daudibertières et Norbert Sabatié (3)