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 Duc Lachapelle par Norbert Sabatié

Dans son Vieux Montauban (1), paru en 1944, le vicomte Robert de Mentque  renseigne sur l’éminent astronome, condensant pour cela la teneur de l’hommage que lui avait rendu, en 1939, M. Maurice Souleil, trésorier de l’Académie de Montauban (2).

La partie du faubourg du Moustier, surplombant la vallée du Tescou, connue sous le nom de « Plateau », était, à ses débuts, une simple plate-forme, qu’encombraient les ruines de trois maisons incendiées en 1754. Près de là, il y avait eu jadis une chapelle dédiée à Sainte-Anne, et qui, démolie lors des travaux qui précédèrent le siège de Montauban de 1621, avait été remplacée plus tard par une maison d’habitation que la famille Duc avait acquise des Desplas et, à la fin du XVIIe siècle, elle avait ajouté le nom de Lachapelle à son patronyme. Le Plateau lui-même était devenu, dans le langage familier, le Plateau de Monsieur Duc. Ainsi, la relation donnée de la grande fête du 2 juillet 1775 en l’honneur du sacre de Louis XVI, n’avait pas manqué de souligner que pour l’illumination, le plateau de Monsieur Duc avait ses parapets couverts de pots à feu, comme ceux de la promenade des Carmes. A cette époque, le chef de la famille Duc-Lachapelle occupait à Montauban les fonctions de receveur des finances ; sa femme était la fille de Monsieur Duval de Lamothe de Varaire, président à la Cour des aides. Quant à la Maison du Plateau, elle fut démolie, ainsi que son observatoire, à la fin du XIXe siècle, et remplacée par le vaste immeuble qu’on voit aujourd’hui, à l’entrée du faubourg du Moustier.

L’astronome

 

Leur fils, né dans cette maison le 27 janvier 1765, après des études de droit à la Faculté de Toulouse, fut d’abord conseiller à la même Cour des aides de Montauban, en 1786. Mais, attiré par l’astronomie, il alla étudier cette science au Collège de France, sous la direction du célèbre Lalande. De retour à Montauban en 1789, il  fit élever, sur la maison paternelle, un observatoire à toit tournant et garni des instruments les plus nouveaux. Sa lunette astronomique était munie d’un réticule mobile très rare à cette époque : on peut supposer qu’il s’agit de celle qu’il mentionne dans des notes et qui lui fut offerte par Lalande. Il fit construire un autre observatoire plus important, au milieu du jardin situé au-dessous de sa maison, d’où la vue était plus étendue, et dans lequel il put placer tous ses instruments, notamment un quart de cercle de Messier que lui avait confié Darquier, savant astronome toulousain.

Les observations qu’il fit et divulgua, aussi bien en France qu’en Europe, lui valurent la reconnaissance des plus célèbres astronomes, de son maître Lalande en particulier qui en fit mention dans son Astronomie et rendit hommage à son élève, notamment dans son discours de rentrée publique au Collège de France, en 1789. M. de Zach les insérait dans les Ephémérides de l’Académie des Sciences de Berlin et les envoyait à ses confrères, en Angleterre, en Autriche, en Russie… Ainsi pouvons-nous connaître ce qui se dit, en langue allemande, sur Duc-Lachapelle :

« M. Duc de la Chapelle est le fils d’un receveur des impositions à Montauban. Ce jeune astronome, après avoir été longtemps à Paris, au Collège de France chez M. de la Lande, s’est appliqué à l’astronomie à Montauban.

Il y a perfectionné les instruments et est parvenu à avoir un petit observatoire dans l’année 1792 à Montauban où il était sous un beau ciel -avec beaucoup d’application, d’adresse et de capacité- il a fait un grand nombre d’observations et il s’est procuré un excellent télescope de 3 ½ pieds de long dont M. de Noir et M. de Lambre se sont servis. Il a aussi une bonne pendule de Janvier. Mais les soupçons des ignorants contrarièrent ses connaissances. M. Duc de la Chapelle dans ces circonstances a éprouvé des empêchements en France, et avec beaucoup de peine, il a obtenu la propriété d’un champ qui est dans la direction de sa méridienne pour y établir une borne. Il a eu la permission de faire une coupe de pierre (un espèce de bâtiment) dans ce lieu afin de mieux diriger son télescope, mais les paysans des environs qui trouvaient quelque chose d’extraordinaire dans cela se réunirent en grand nombre pour démolir tout cet établissement et les préparatifs qui avaient été faits.

Mme la Vicomtesse Emmanuel de Gironde a eu la bonté de me faire donner cette traduction le 5 mars 1847 [traduction de quelques notes sur M. Duc Lachapelle, écrite en allemand par M. de Zach] » (3).

Malgré certains détracteurs, Duc-Lachapelle s’obstina dans son entreprise d’enrichissement de son observatoire, acquérant équatorial, lunette méridienne à grande ouverture, thermomètres et baromètres. Son relevé systématique des observations météorologiques a fait l’objet de plusieurs volumes conservés à la Bibliothèque municipale de Montauban et aux Archives départementales (4).

Ses talents hautement appréciés lui ouvrirent les portes de l’Institut : le 29 mars 1796, il fut nommé associé astronome de l’Institut des Sciences et des Arts. Déjà, en 1792, il avait été élu correspondant de l’académie des Sciences, Inscriptions et Belles-Lettres de Toulouse ; il le devint également pour l’Institut Royal des Sciences, Belles-Lettres et Arts des Pays-Bas. Il fut aussi désigné pour participer à l’expédition d’Egypte de Bonaparte, mais une chute de diligence l’en priva.

Plus tard, des problèmes de vue l’inquièteront sérieusement, ainsi qu’il en fait état dans cet extrait de lettre :

« Montauban 14 juillet 1806

C’est toujours, mon cher Maître, avec le plaisir le plus vif que je reçois de vos nouvelles : les preuves de votre bon souvenir, et de la durée de l’amitié que vous m’avez accordée, sont infiniment précieuses pour moi ; j’ose même dire qu’elles sont nécessaires au bonheur de ma vie. Il n’est pas de jour où je ne songe à vous : il n’en est pas par conséquent où ma reconnaissance pour tous vos soins et mon attachement pour vous ne trouvent, s’il est possible, de nouveaux degrés d’argumentation. Je continue mes observations ; à la vérité, mes yeux ne permettent pas encore de suivre tout mon zèle ; mais comme cet état s’améliore, j’espère, dans quelque temps, pouvoir m’y livrer avec moins de réserve. Je ne pus observer que le commencement de l’éclipse du 16 juin, les nuages me privèrent de la dernière phase : j’ai l’honneur de vous envoyer mon observation. J’y joins des observations de Vénus en conjonction de Mercure, Jupiter et Saturne. Je désire qu’elles vous fassent plaisir et que leur justesse les rende susceptibles de contribuer aux progrès de la science.

Si vous n’avez moyen de faire imprimer la première suite de mes observations, je vous prie de vouloir bien me renvoyer mon manuscrit pour contre seing, s’il est possible. Peut-être un jour pourrais-je les faire moi-même. Mais dans ce moment, les mauvaises récoltes que nous éprouvons, le vil prix des vins, nous ôte toutes nos facultés. […] Je n’ai pas oublié que je vous dois 51 # pour le catalogue de Piazzi… » (5)

Certainement adressé à Lalande qui lui répond : « Votre mal d’yeux est une plaie pour l’astronomie », ce courrier, révélant une faiblesse visuelle due à une grande fatigue, entraîne pourtant cette réponse : « L’état de mes yeux ne me forcera pas, je l’espère, à me priver entièrement de l’astronomie ; ce serait le désespoir de ma vie, et croyez que, quoique martyr de la science, mon amour pour elle n’a pas diminué. » (6)

 

L’académicien

 

Pendant la Révolution, l’Observatoire de Montauban, connu au loin et apprécié, devint, sur place, le centre de réunion de tous les hommes distingués que possédait la Ville, ainsi que le noyau de la Société des Sciences et des Arts, qui s’était élevée sur les ruines de l’Académie de Montauban, supprimée par le décret de la Convention du 8 août 1793.

La nouvelle Société, fondée par Duc-Lachapelle, adopta son règlement le 23 Brumaire an V (13 octobre 1796) ; elle comprenait deux sections : celle des Sciences et des Arts, et celle de la Littérature. Aux quinze membres résidants montalbanais s’ajoutaient quinze associés correspondants, parmi lesquels des personnages illustres tels l’astronome Lalande, le ministre de l’Intérieur François de Neufchâteau, le comte de Lacépède, le poète Millevoye, ou encore le général Bonaparte, Premier Consul, nommé pour la section des Sciences et des Arts, lors de la séance générale du 1er Floréal an IX (21 avril 1801). Il fut accordé, pour les réunions, une salle à l’Hôtel de Ville, un terrain pour la création d’un jardin botanique, une subvention. Ce jardin peut être considéré comme l’embryon et le symbole de l’action scientifique menée par la Société montalbanaise auprès du monde agricole, conduisant, plus tard, à la création d’une vigne-école de type expérimental, encore présente par son nom donné au chemin qui y conduisait.

Ces éléments proviennent du fonds de l’Académie de Montauban, déposé aux Archives départementales, dans  lequel se trouvent de nombreuses communications très spécifiques de Duc-Lachapelle, en regard des astres :

« Séance du 1er Prairial an IX

Présents : Duc-La Chapelle faisant fonction de directeur

Lectures approuvées : […] Duc-la-Chapelle : Mémoire sur l’obliquité de l’écliptique et sur sa diminution « où la Science n’ôte rien aux agréments du Style et où Newton est loué pour quelqu’un qui sent son génie, et paraît en éprouver l’influence » (lecture donnée lors de la 2ème Séance générale et Publique du 30 Préréal [sic] de l’an IX) »

« Séance du 1er Messidor de l’an IX

« Astronomie : mémoire de Duc-la-Chapelle sur l’occultation de l’épy de la Vierge par la lune. Observée à Montauban le 4 Prairial de l’an 9. Cette observation est d’autant plus précieuse qu’il doit y avoir à cet égard des observations correspondantes dans les différentes parties du monde, et peut-être sur des terres inconnues jusques à présent par les astronomes de l’expédition de découverte commandée par le capitaine Baudin. »

« Séance Publique du 30 Prairial de l’An X : Le citoyen Duc La Chapelle lit un mémoire sur l’éclipse totale de Lune observée à Montauban le 22e 8bre 1790 »

« Astronomie : le citoyen Duc La Chapelle a lu deux mémoires, l’un sur une éclipse de Lune, l’autre sur une éclipse de Soleil, il remarque que les éclipses de Lune sont peu propres à donner des résultats exacts applicables à la détermination des longitudes et à contribuer à l’avancement des Sciences.

Physique : le citoyen Duc a présenté le tableau des observations météorologiques faites à son observatoire en l’an XI. Il le compare aux événements instables en ce genre qui ont eu lieu aux époques correspondantes dans différents pays d’Europe. » (7)

Par ailleurs, Duc-Lachapelle a su prouver son intérêt pour les lettres, et sa volonté de mettre à la portée du plus grand nombre le moyen de s’instruire, en installant la bibliothèque municipale, la dotant d’ouvrages et obtenant des subventions :

« Séance Publique du 30 Prairial de l’An X : Lettre du Préfet du Lot

            [La constituante de 1792 avait relégué Montauban à l’état de simple District du Lot]

Allocation d’une somme de 600 f. pour l’entretien annuel de la Bibliothèque de Montauban qui bientôt sera ouverte au public sous la surveillance d’un de vos membres délégué à cet effet.

La salle est ornée d’une collection considérable de tableaux des trois écoles et du plus grand prix qui ont été prêtés par divers amateurs de cette ville. Cette collection […] ajoute à l’intérêt de cette séance ce que la magnificence et la perfection de l’art peuvent offrir à la vue des spectateurs. »

« Séance générale du 1er Pluviôse de l’an XI : Le citoyen Duc La Chapelle dit qu’ayant été chargé par le Préfet du département de faire réunir dans l’édifice de la bibliothèque de la Ville tous les Livres qui se trouvent déposés à l’ancienne cathédrale, et ayant trouvé dans les salles de dépôt quarante-cinq tableaux, deux gravures sans glace, deux petites statues, une gravure en plâtre, il a cru quoi que la plupart des tableaux soient de peu de valeurs devoir les faire transporter dans la salle des séances de la Société où ils se trouvent actuellement, il demande qu’une délibération soit prise à cet égard. » (8)

                Duc-Lachapelle peut donc être considéré comme le fondateur de la bibliothèque municipale où il regroupe les volumes de la donation faite par l’abbé de Latour, en 1780. Sa famille avait acheté ce qui restait de l’important château de Piquecos (dans lequel Louis XIII avait séjourné durant son vain siège de Montauban, en 1621), et le conserva jusqu’en 1895. Dernièrement, son successeur, le baron de Nerciat, a fait don du fonds de sa bibliothèque du château de Piquecos à la Ville de Montauban, renforçant ainsi le legs de Duc-Lachapelle.

Outre l’intérêt porté aux Arts par notre astronome, on notera son souci du bien public, non seulement en France, mais à l’échelle européenne :

« Séance du 14 Germinal de l’an dix : Le citoyen Duc-La Chapelle, membre de la Section de Sciences, appelle l’attention de l’assemblée sur un objet bien digne de la fixer. La paix vient de se conclure, dit-il, cet événement est aussi intéressant pour les Sciences et les Arts qu’il est heureux pour l’Europe, et glorieux pour la France, la Société ne devrait-elle pas, en participant à la Joye publique, manifester aussi la sienne, et signaler dans une adresse au premier Consul son admiration et sa reconnaissance ? » (9)

Enfin, nous ne saurions passer sous silence le rôle joué par Duc-Lachapelle, vice-directeur, faisant à plusieurs reprises fonction de directeur de la Société en l’absence du président, jusqu’à la séance du 1er Pluviôse de l’an XIII où il devint directeur et le resta en 1806 et 1807. Il avait déjà occupé cette fonction dans les années 1800, comme peut l’attester le document de la Société des Sciences et des Arts, ci-après.

 

L’administrateur

 

Sous le Ier Empire, Duc-Lachapelle alterna avec le baron de Mortarieu à la tête de la mairie de Montauban, rivalisant de zèle avec lui pour la bonne administration de la Ville. Après la création du Tarn-et-Garonne (par sénatus-consulte de Napoléon, signé le 4 novembre 1808), à la suite des nominations administratives successives, il figura parmi les seize notabilités désignées pour former le premier Conseil général du département. Le 15 août 1811, lors de la première réunion de cette nouvelle institution départementale, Duc-Lachapelle fut élu par ses collègues secrétaire et membre de la commission chargée d’effectuer le « répartement » [sic] des contributions. De plus, Duc-Lachapelle, correspondant de l’Institut Impérial et directeur de la Société des Sciences, Agriculture et Belles-Lettres de Tarn-et-Garonne (nouvelle appellation) avait été élu maire de Montauban, le 29 juillet 1811. En lui annonçant sa nomination, le baron Lepelletier d’Aulnay, premier préfet du nouveau département, lui écrivait : « Le zèle avec lequel vous avez rempli toutes les fonctions auxquelles vous avez été appelé est un sûr garant de l’attachement et de l’intérêt que vous porterez à vos administrés. » (10)

Des nouvelles preuves de ce zèle sont révélées par le compte administratif pour 1811 que Duc-Lachapelle donnait au Conseil municipal, le 2 mai 1812, et dans lequel transparaît également le caractère humain du premier magistrat :

« Le recreusement des ruisseaux et des fossés a procuré encore l’avantage inappréciable d’occuper un grand nombre d’ouvriers qui se trouvaient sans travail, et qui, par là, étaient plongés dans l’indigence ; ainsi, en faisant le bien des campagnes, en assurant la prospérité des récoltes, l’administration fournissait des moyens de subsistance à une classe aussi malheureuse qu’intéressante. Mais l’inactivité des fabriques qui laissait dans l’oisiveté et dans l’indigence la partie industrieuse de mes administrés me fit bientôt reconnaître que ce moyen, quoique puissant, était insuffisant, surtout parce que cette inactivité coïncidait avec le haut prix des denrées de première nécessité. Je projetai donc des travaux dans l’intérieur de la ville […]

            Le 18 décembre, je pris un arrêté pour établir une commission chargée de la direction et de la surveillance des travaux. Vous savez, Messieurs, comment, par le zèle infiniment louable de cette commission, les souscriptions se sont multipliées et comment les fonds sont actuellement employés, en fournissant par un travail utile des moyens de subsistance à notre nombreuse population. » (11)

            Malgré cela, Duc-Lachapelle fut remplacé, le 25 mars 1813, par le baron Vialètes de Mortarieu auquel il avait lui-même succédé. L’année suivante, il devait succomber et être enlevé aux Sciences et aux nombreuses affections qui l’entouraient, alors qu’il n’avait pas atteint cinquante ans.

            N’avait-il pas regretté qu’il n’y eût à Montauban de laboratoire de chimie, ni de cabinet de physique qui pût rassembler les expériences de son compatriote Bénédict Prévost ? Ne s’était-il pas également préoccupé de l’installation d’un Museum, tout comme il avait su attirer l’attention des économistes sur l’importance des progrès dans le domaine agricole ? Enfin, à la demande du préfet du Lot, n’avait-il pas entrepris de rédiger des tables de réduction pour toutes les mesures anciennes du département ? Ce travail, qu’il qualifiait lui-même d’aussi pénible que fastidieux, fut publié sous le titre de Métrologie à l’usage du Département du Lot et rendit de grands services aux habitants de la région.(12)  Voilà bien d’autres exemples qui dénotent la quête inlassable de ce savant dont l’esprit, tourné vers l’avenir, avait pour unique visée l’amélioration du sort de ses semblables. Aussi, la Ville de Montauban peut-elle vouer une reconnaissance fidèle à celui qui a grandement contribué au progrès social, à l’aube du Siècle des Lumières. Quant à la Société qu’il a présidée, et qui redeviendra l’Académie de Montauban, elle a certainement pensé à cet humaniste en complétant dans son titre, les mentions : « Sciences, Belles-Lettres, Arts » par celle de « l’Encouragement au Bien ».

Norbert Sabatié, président de l'Académie

                                  

Annexe 1 : brouillon de lettre de Duc-Lachapelle à  M. Lalande (ADTG 1 J article 92)

Annexe 2 : brouillon de lettre de Duc-Lachapelle, à la suite de la mort de  M. Lalande) (ADTG 1 J article 92)

Pour consulter ces textes, cliquer ici : ANNEXES 1 & 2 :

(1) Le Vieux Montauban , Vicomte Robert de Mentque (Forestié, 1944)

(2) « Un académicien d’autrefois : L’Astronome Duc-Lachapelle » par M. Maurice Souleil  (Recueil de l’Académie de Montauban, 1939)

(3) Extrait d’un  journal astronomique : « Observations sur l’observatoire de Montauban dans l’année 1792 », copie de lettre, Archives départementales de Tarn-et-Garonne (série 1 J article 92)

(4) « Mémoire sur les phénomènes météorologiques depuis le 20 Vendémiaire An 8 jusqu’au 30 Nivôse suivant par le Citoyen Duc-la-Chapelle » (ADTG, 2J 1 26 (8)) ; « Journal météorologique de la ville de Montauban par Duc-de-Lachapelle (An IX – 1809) (ADTG, 3J ms 40) ; « Observations sur deux thermomètres et un baromètre An IX – XII » (ADTG, 3 J article 40) ;  « 32 cahiers ms in 4° des Observations météorologiques par Duc de-Lachapelle : 1. 8 vendémiaire An IX – 4 août 1806, 2. 5 août 1806 –24 octobre 1809, 3. 25 octobre 1809 – 7 mars 1812 » (ADTG, 3J ms 227 1-3)

(5) (6) (7) (8) (9) Ibid. (3)

(10) (11) (12) Ibid. (2)